Meetic, Swipe, Match, Tinder, Bumble, Fruitz… En Belgique, 1.4 million de personnes utilisent les sites de rencontres ! 
Le 21 de chaque mois, les étudiant·e·s de la section Communication de la HELHa à Tournai proposent une plongée dans leur univers avec leur podcast HELHa de la Voix.  Au programme de février : un épisode sur les sites de rencontres à l’occasion de la Saint-Valentin.

Et voici le pitch de l’émission 💘 : Qui n’a jamais été faire un tour, « juste pour voir », sur Tinder, Fruitz, Bumble ou une autre appli de rencontre ? Chez HELHa de la Voix, on s’est posé la question. Ces applis qui font un carton : permettent-elles vraiment de rencontrer l’âme soeur ? Tu l’entendras: on a donné de notre personne. On a testé et interviewé un tas d’utilisateurs, qui ont swipé…pour le pire ou le meilleur ! Un numéro spécial 14 février à écouter passionnément !

Un usage encore tabou ?

Célia et Elisa font partie des invité·e·s de cet épisode et sont assez étonnées par le nombre d’utilisateurs en Belgique :

« C’est dingue ! Personnellement, je ne connais personne de mon entourage sur ces réseaux sociaux. »
« Sur les jeunes de notre génération, à part mon meilleur ami, je ne connais personne. »

Aurélie, invitée, elle aussi, a un autre avis que ses collègues : « Le chiffre ne m’étonne pas spécialement, car quand on discute avec ses proches, on en compte plusieurs qui en ont déjà utilisé. « Un chiffre surprenant qui s’explique peut-être par un usage « caché » :

« Je pense que c’est tabou. C’est peut-être cela l’explication de notre étonnement. »

« Quand je me suis inscrite, j’ai retrouvé tou·te·s mes ami·e·s dans les profils Swipe alors que je ne savais pas qu’ils étaient inscrit·e·s. »

« Au moment de présenter une personne à notre famille, c’est toujours un peu gênant d’avouer qu’on l’a rencontrée sur un site de rencontres. »

« Un intermédiaire de rencontre différent. Tout dépend de ce que l’on en fait. »

Chaque personne partage une expérience bien différente de son usage des sites de rencontres : « Je me suis inscrit sur Tinder au début de l’année pour copier une amie. Mais, par la suite, j’ai commencé à me prendre au jeu, à discuter avec des gens et j’y ai trouvé quelqu’un de chouette. », partage Matéo, en Bac 2, Communication.

« Sur ces sites, il y a un peu de tout : des personnes seules, comme moi, mais également des personnes en couple ! Ça fait froid dans le dos. J’ai discuté avec quelqu’un quelque temps et je l’ai rencontré en face-à-face. Je me suis alors vite rendu compte que la personne semblait avoir des problèmes psychologiques et pour moi, c’était évident que ce n’était pas elle qui écrivait les messages. J’ai trouvé une solution pour me sortir de là et je suis partie avec ma voiture, le plus loin que j’ai pu. », explique Francine, septuagénaire.

Des sites à prendre avec des pincettes : « C’est une nouvelle technologie, c’est un canal différent. Ce n’est pas parce que c’est nouveau que cela amène plus de risques. Pour moi, ces sites n’ont rien de positif ou négatif. C’est un intermédiaire de rencontre différent. Tout dépend de ce que l’on en fait. C’est l’histoire de l’humanité. », conclue Marie, psychologue.

Envie d’entendre des récits d’amour, des expériences flippantes, les conseils précieux de notre psychologue ainsi que tous les témoignages en entier ? Écoute cet épisode sur Spotify, Deezer ou SoundCloud ! 22 minutes à consommer sans modération !

Et surtout, partage le podcast et parles-en autour de toi pour soutenir les étudiant·e·s qui s’investissent pleinement pour produire ce travail de qualité. Déjà près de 1000 auditeurs·trices par mois !

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nicolas savaete
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charlotte legrand
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Laissez-vous surprendre par les toutes premières productions de ces futur·e·s journalistes et communicant·e·s !