Les études, le sport et la compétition !

Laurine, Chloé et Sarah-Daisy sont étudiantes à la HELHa, mais aussi des sportives.
Ces étudiantes se rendent au cours autant qu’elles pratiquent leur activité sportive. Des passionnées ?
Certainement, mais aussi des organisatrices nées, car entre les études et le sport, il faut savoir jongler.

Qui sont-elles ?

Laurine, 4 fois championne de Wallonie et trois fois vice-championne de Belgique, roule en VTT et slalome, facilement, entre ses études en technologue de laboratoire sur le Campus de Montignies sur Sambre.

Chloé, triple médaillée d’or en 2019 au championnat handisport et double médaillée d’or aux jeux paralympiques de la jeunesse en Finlande, nage et se débrouille comme un poisson dans l’eau quand il s’agit de ses cours d’institutrice maternelle sur l’implantation de la HELHa Braine-le-Comte.

Sarah-Daisy, championne du Hainaut et universitaire, sprinte sur 100 et 200 m et tient la distance quand il s’agit d’intégrer ses syllabus d’ingénieur industriel sur le Campus de Mons.

Être sportif de haut niveau, c’est quoi ?

Le décret « sport » datant du 8 décembre 2006 reconnait trois statuts :

• espoir sportif,
• sportif de haut niveau
• partenaire d’entrainement.

Tous les étudiants disposant de l’un de ces statuts peuvent se voir accorder le statut de « sportif de haut niveau » par leur université ou leur école supérieure après analyse de leur demande par une commission interne. Par ailleurs, même sans reconnaissance décrétale, une demande peut être réalisée auprès de l’institution comme « sportifs de bon niveau ».

Qu’est-ce que cela permet ?

Cela permet d’obtenir un allégement d’études, d’être dispensé de certains cours ou encore d’obtenir une session d’examen modifiée ou prolongée selon la convention établie avec les autorités de la Haute École.

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Gérer les cours et les entrainements, pas si simple !  

« Ce n’est pas toujours évident d’allier les études et la piscine. Dès que j’ai le temps, je travaille pour l’école, car en tant qu’institutrice maternelle, quand on a des stages, il y a des préparations. Dès que j’ai l’occasion, sur le temps de midi ou dans le train, j’essaie d’accorder un maximum temps à mes entrainements » explique Chloé.

« Quand j’ai eu cours toute la journée et qu’après directement je dois venir m’entrainer, il y a la fatigue de la journée accumulée. Quand, je finis l’entrainement et que je rentre chez moi, je dois encore travailler pour les cours » assure Sarah-Daisy.

« Le temps, c’est la difficulté majeure. Il faut vraiment savoir gérer son temps, car les horaires sont très serrés entre les cours, le retour à la maison, s’entrainer et étudier, ça doit être très précis sans compter la fatigue en plus » conclut Laurine.

La HELHa et HELHa Sport félicite Chloé, Laurine et Sarah-Daisy pour leur investissement à la fois dans leur pratique sportive et dans leur étude. À bientôt pour d’autres exploits sportifs.

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