Les projets ont continué à germer, les initiatives sportives à se diversifier et la motivation à se maintenir. 

Jogging de Presles  

Le mois de mai a débuté en beauté avec le Jogging de Presles auquel une vingtaine d’étudiant·e·s de la HELHa ont participé. Deux courses, deux podiums : Maëlys et Evariste ont tous les deux terminé 3èmes sur le 5,5km dans les catégories féminine et masculine.

 Championnat Indoor Athlétisme  

Amélie, Lilou, Léa, Floran, Maxime, Enguerran, Cyril et Enzo ont fièrement représenté notre Haute École. Cyril Belsack s’est distingué en décrochant la 1ère place sur le 800m, tandis que Maxime Debacker a réalisé une belle performance avec une 2ème place sur le 110m et une 3ème place sur le 400m haies.   

 Activité HYROX 

Le mois de mai s’est poursuivi avec une activité inédite à la HELHa ! Florisse et Mathias, deux moniteurs de Montignies-sur-Sambre, ont initié les étudiant·e·s à l’HYROX, un mélange d’endurance et d’exercices musculaires. 25 binômes se sont lancés courageusement dans cette discipline en vogue. Une belle découverte !  

 Tir sportif 

Une vingtaine d’étudiant·e·s ont eu l’opportunité de s’initier au tir sportif grâce à une collaboration avec le SRTC Farciennes (Société Royale de Tir Charleroi). Sécurité, confiance en soi, maitrise, précision et respect des consignes étaient au programme. Une occasion unique de découvrir cette discipline dans un environnement sécurisant et encadré. 

 Championnat de Belgique de Triathlon DO à Seneffe  

Au programme : 1500m de natation, 40km de vélo et 10km de course à pied. Mathis, Alexandre et Thomas ont fièrement représenté la HELHa et ont bouclé le circuit avec de beaux classements.  

 Course à pied de l’école Saint Luc 

Plus d’une trentaine d’étudiant·e·s ont participé à la course à pied de l’école Saint Luc à Mons, découvrant les deux parcours proposés : 5,5km et 10km. Etienne Libessart s’est distingué en terminant deuxième au classement général et premier dans la catégorie espoirs hommes.  

 Start in Bloc  

Lors du Start in Bloc, le blocus accompagné organisé par la HELHa, les étudiant·e·s ont pu participer à des ateliers méthodologies, bien-être et sportifs. La cellule HELHa sport a intégré plusieurs activités sur les campus de Montignies-sur-Sambre, Mons et Tournai. Ces moments leur ont permis de s’oxygéner, de s’aérer l’esprit et de bouger entre deux périodes d’étude intense. Une vraie bouffée d’air ! 

Les activités se terminent doucement chez HELHa Sport. Mais l’année n’est pas encore tout à fait finie… Des événements restent à venir pour le mois en juin. 

Plus d’information ici. 

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Elle permet d’accumuler 3 diplômes :

 > la spécialisation en tant que telle

> le certificat de référent dément

> le titre de Directeur·trice de Maison de Repos et de Soins pour Personnes Agées.

La HELHa propose un accompagnement pédagogique orienté «projet» tout au long de la formation.

Nouvel étalement de la spécialisation pour mieux concilier vie professionnelle, vie privée et besoins de développement

La formation se déroule sur le site de Tournai (Quai des Salines) en 900 heures réparties en cours et stages sur 1, 2 ou 3 ans. Cet étalement en 3 ans est une nouveauté !

• En 1 an : cours le lundi, mardi, jeudi et vendredi.
• En 2 ans : cours le jeudi, vendredi en première année et cours le lundi, mardi en deuxième année.
• En 3 ans : 1 jour de cours. 

L’organisation de la formation permet de maintenir une vie professionnelle en parallèle avec, notamment, la possibilité d’effectuer des stages dans son institution professionnelle.

!!! Il est possible de bénéficier du Congé Education Payé.

!!! Pour les infirmier.ère.s hospitalier.ère.s, la formation courte de 160h pour le QPP vous conviendra.

Les objectifs de la spécialisation en Gériatrie et Psychogériatrie de la HELHa

Elle propose de :

• développer une approche pluriprofessionnelle dans l’accompagnement des personnes âgées, tant en soins aigus qu’en soins chroniques.
• adopter une vision globale qui permet véritablement de comprendre la personne âgée dans son environnement, en intégrant l’ensemble des éléments qui constituent son quotidien.
• intégrer une formation qui se base en permanence sur des situations professionnelles concrètes.
• mieux comprendre les politiques de soins de santé.

Plus d’informations

Nos anciennes témoignent à propos de leur parcours au sein de la spécialisation en Gériatrie et Psychogériatrie de la HELHa, via ce lien.

Le secrétariat est à votre disposition pour toute information complémentaire au 069 89 05 10.

Les inscriptions pour l’année académique 2025-2026 sont ouvertes !

Les autres spécialisations

La HELHa organise 5 spécialisations en Santé et Technologies Médicales :

• • Gériatrie et Psychogériatrie
  • Oncologie
  • Radiothérapie
  • Santé mentale et psychiatrie
  • SIAMU

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Les Hautes Écoles le rappellent : la liberté académique n’est pas un privilège, mais une condition fondamentale pour une société démocratique et éclairée. En menaçant cette liberté, les solutions pratiques de demain sont mises en péril.

« En tant que représentant·es des Hautes Écoles, nous observons avec préoccupation une remise en question croissante de l’indépendance de la science et de la liberté académique à divers endroits de notre société. Cette prise de conscience collective nous conduit à réaffirmer tenacement notre engagement envers ces valeurs fondamentales qui sont au coeur même de toute démarche scientifique. Face aux différentes pressions qui menacent aujourd’hui l’autonomie de la recherche, il nous apparait plus qu’urgent de rappeler que la liberté scientifique est le pilier d’une société démocratique, éclairée et résiliente.
Les valeurs que nous défendons qui sont aussi celles portées par l’ARES, à savoir le renforcement des capacités, la réciprocité et l’équité des échanges, l’inclusion et la diversité, ainsi que l’autonomie et la liberté académique, ne sont pas des slogans. Elles sont le socle sur lequel reposent la rigueur de nos recherches, la qualité de notre enseignement et la capacité de notre société à innover, à (se) questionner, à progresser, à contester et, somme toute,
à penser.
L’enseignement supérieur à travers les Hautes Écoles constituent un maillon essentiel de l’écosystème de la recherche scientifique. Au carrefour entre le monde académique et le monde professionnel, elles occupent une position unique. Elles forment les futur·es acteur·ices de terrain, précisément celles et ceux qui agiront au coeur des réalités concrètes de notre société de demain. Leur formation ne peut se faire sans un enseignement nourri par une recherche libre, indépendante et connectée aux enjeux contemporains. C’est là que résident notre responsabilité en tant qu’institutions, ainsi que notre devoir envers les citoyennes et les citoyens.

Dans ce contexte, nous réaffirmons que :

• Le maintien de tous les champs de compétences est indispensable pour appréhender la complexité des enjeux actuels que nous traversons;
• Une recherche indépendante est la garantie de résultats scientifiques fiables, attestés et utiles pour le bien commun;
• Le développement de l’esprit critique est au coeur de notre mission : il ne peut y avoir de citoyenneté active sans liberté de pensée;
• La science ne se limite pas à des retombées économiques immédiates : elle doit pouvoir explorer, anticiper, imaginer et parfois déranger pour mieux innover.

Ainsi, nous rappelons que la liberté académique n’est ni un luxe ni un privilège, mais une condition essentielle pour construire une société démocratique et innovante. Les idées, les savoirs, les découvertes doivent pouvoir se développer à l’abri des injonctions idéologiques et des intérêts particuliers. C’est à ce prix que la connaissance peut réellement être au service de l’intérêt public.
Nous, représentant·es des Hautes Écoles, prenons aujourd’hui la parole d’une seule voix pour réaffirmer notre engagement : celui de défendre la liberté académique, de préserver l’intégrité de la recherche scientifique et de continuer à former des esprits libres, curieux et critiques.
La science constitue un bien commun qu’il nous appartient collectivement de préserver et de valoriser. Elle représente l’un des instruments les plus précieux dont nous disposons pour comprendre notre monde et en façonner l’avenir de manière éclairée.

Cette lettre est signée par l’ensemble des Directions-Présidences des Hautes Écoles de Fédération Wallonie-Bruxelles, unies dans leur engagement pour la défense d’une science libre et pour la liberté académique.

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L’Organisation des Étudiants de la HELHa (OEH) organise le Bal de Braine-le-Comte sur le thème des années 2000 ! L’évènement offre une parenthèse festive après les examens, ou simplement l’occasion de se retrouver avant les vacances d’été. 

Etudiant·e·s et membres du personnel de la HELHa sont invité·e·s à partager un moment convivial et à vivre une soirée rythmée par les sons emblématiques de cette décennie.   

Quand ? Le samedi 21 juin 2025, de 19h30 à 2h

Où ? Sur l’implantation de Braine-le-Comte, dans l’Amphithéâtre.  

Rue d’Horrues 176, 7090 Braine-le-Comte, Belgique

Prix ? 8€ en prévente et 10€ sur place (Vente en présentiel uniquement -> Plus d’information via les stories de l’OEH). 

Bal de Braine-le-Comte – Années 2000 

Après le succès du premier bal de l’année à Charleroi, un deuxième rendez-vous s’annonce.  

Bandanas, jeans taille basse, lunettes colorées… L’univers des années 2000 fait son grand retour le temps d’une soirée. Une ambiance 100% 2000’s est au programme, aussi bien dans les sons que dans les looks. Un coin photos avec des accessoires rétros sera mis en place. Nostalgie et fun garantis !  

Pour plus d’information, consulter le compte Instagram de l’OEH et la page Facebook de l’événement.  

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Vivre l’école du dehors pour mieux l’enseigner 

Du 7 au 9 mai dernier, les futur·e·s enseignant·e·s en Sciences humaines, Sciences ou Français ont vécu un atelier de formation pratique hors du commun : trois jours en pleine nature pour découvrir une autre façon d’enseigner. 

L’école du dehors, c’est une approche pédagogique qui consiste à enseigner régulièrement à l’extérieur, dans des environnements naturels ou semi-naturels (forêt, parc, jardin, cour d’école…).  

Au programme de la première journée : visite du musée Emile Verhaeren, promenades et activités en extérieur. Autant d’occasions de vivre concrètement ce que l’école du dehors peut apporter aux élèves : coopération, interdisciplinarité ou encore savoir-être. 

« On est mis énormément dans l’autonomie, on a l’occasion de tester plein d’activités » confie Lisa, étudiante en Sciences humaines. 

Concevoir des activités pour la classe… dehors 

Le deuxième jour, les étudiant·e·s ont imaginé leurs propres activités. Le dernier jour était dédié à leur mise en pratique avec le groupe. 

« On fait vivre à nos camarades de classe des activités qu’on crée nous-même. On essaie, on s’exerce et on construit des choses qui nous serviront pour les stages » témoigne Guillaume, étudiant en Sciences. 

Les propositions étaient aussi variées qu’inventives : 

• Sophrologie et poésie en pleine nature ; 
• Dessin d’observation de végétaux et animaux ; 
• Loup-garou géant autour de la Réforme protestante ; 
• Chasse au trésor ; 
• Etc. 

La pratique au cœur de la formation 

Apprendre à enseigner, ce n’est pas rester assis en classe : c’est expérimenter, concevoir, animer, tester. C’est ce que permet ce type de séjour, loin des cours traditionnels. 

À la HELHa, les Masters en enseignement sont pensés pour alterner entre savoirs théoriques et mises en pratique. Dès la première année, les étudiant·e·s participent à des ateliers, des projets et des stages. La pratique prend une place de plus en plus importante au fil du parcours. 

Ce séjour illustre parfaitement l’ADN de la HELHa : un accompagnement de proximité, une pédagogie active et des groupes à taille humaine. 

Pour découvrir le Master en enseignement – Section 3 à la HELHa (de la 5e primaire à la 3e secondaire) :  

• Formation Manuelle, Technique, Technologique et Numérique  
• Français / Éducation Culturelle et Artistique  
• Français / Éducation à la Philosophie et Citoyenneté  
• Français / Français Langue étrangère – Français Langue d’Apprentissage  
• Français / Langues anciennes  
• Français / Religion  
• Langues germaniques (Anglais, Néerlandais)  
• Mathématiques / Formation numérique  
• Sciences  
• Sciences humaines  

Cette formation est proposée à Braine-le-Comte, Leuze-en-Hainaut et Loverval (Charleroi). 

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Hugo, pour l’automobile  

Âgé de 22 ans, Hugo Lechat achève sa dernière année de bachelier en automobile à la HELHa de Mons. Initialement inscrit en kinésithérapie, il décide de changer de voie. « J’ai commencé des études en automobile par passion. Je ne connaissais rien du tout, j’avais juste quelques bases. Mais j’ai tout appris à l’école » explique-t-il.  

Ancien joueur élite de basket à Mons-Hainaut, Hugo garde un esprit compétitif. Il affirme : « Le basket m’a appris à gérer le stress ». Lorsqu’il assiste à une présentation de Pierre, ancien participant aux WorldSkills, sa volonté de compétition se confirme. Il raconte : « Par mon passif de compétiteur, j’ai toujours aimé me challenger et sortir de ma zone de confort. J’avais besoin de me mettre de nouveaux défis, de voir mon niveau, etc. Comme ça se passait bien à l’école, j’ai foncé sur l’opportunité. » 

Emilien, en Web Technologies 

À Tournai, Emilien Marquegnies est étudiant en troisième année de bachelier en technologie de l’informatique. Il s’illustre dans la catégorie Web Technologies. Il y a un an, il découvre les WorldSkills un peu par hasard lors d’une présentation dans un auditoire. Par curiosité, il s’inscrit et passe avec succès les différentes étapes de présélection. Après avoir suivi plusieurs formations techniques et en soft skills, il obtient la médaille d’or nationale et rejoint l’équipe des Belgian Red Bears. 

Pour se préparer à la compétition européenne au Danemark, Emilien participe à des compétitions préparatoires dans différents pays « Les compétitions internationales m’ont permis d’évaluer mes compétences et de me mettre dans des conditions réelles. » explique-t-il. Il met aussi en avant la richesse des échanges avec les autres compétiteurs. « Rien que pour l’anglais, c’est bien aussi. C’est très facile d’échanger avec les autres compétiteurs parce qu’on est dans le même bain. » 

Les Red Bears, l’équipe nationale 

Après avoir brillamment réussi les épreuves de la compétition nationale des métiers, les Startech’s Days, Hugo et Emilien intègrent les Belgian Red Bears, l’équipe nationale belge des métiers techniques et technologiques. À l’image d’athlètes de haut niveau, ils suivent un programme défini qui inclut des formations techniques, mais aussi des formations en soft skills comme la gestion du stress ou la préparation mentale. 

Hugo partage son expérience : « Les Belgian Red Bears, c’est comme les Diables Rouges. On se crée une deuxième famille. Il y a aussi un esprit d’équipe qui est créé avec les autres corps de métiers. C’est principalement un accompagnement moral parce qu’on nous prépare mentalement à se retrouver en compétition, à avoir plusieurs milliers de spectateurs et à ne pas perdre pied. On réalise des exercices qui nous mettent dans des positions inconfortables. »  

Préparation et études : un équilibre à trouver 

Tous deux doivent jongler entre leurs études, leurs stages et leur préparation intensive aux EuroSkills. Le rythme est soutenu, mais ils l’acceptent avec enthousiasme. Emilien reconnaît : « Cela demande quand même pas mal de sacrifices dans ma vie scolaire. Mais honnêtement, ça en vaut clairement la chandelle. Il y a tellement de bénéfices à en retirer que les quelques petits inconvénients que j’ai, c’est vraiment mineur. » 

Malgré des formations souvent organisées le week-end, ils peuvent compter sur une certaine flexibilité au sein de l’école. Hugo précise : « Pendant les Startech qui ont eu lieu en semaine, j’avais cours, mais j’ai envoyé un mail au prof et il n’y a pas eu de problème. On peut facilement s’arranger. » Ce soutien est précieux, même si les deux jeunes aimeraient que ce type de dispositif soit davantage reconnu et institutionnalisé. 

Ils insistent sur les qualités nécessaires pour s’engager dans une telle aventure, à commencer par la motivation. Hugo le souligne : « Il faut être motivé avec un M majuscule. On peut être motivé assez pour s’inscrire, pour faire la formation, mais il faut assumer d’être là un samedi par mois, voire plus. » Pour les deux étudiants, il faut aussi avoir une vraie soif d’apprendre et une bonne dose de confiance en soi. 

Des perspectives pour l’avenir 

Pour Emilien, cette expérience représente un véritable tremplin. Fort de ses nouvelles compétences, il envisage de poursuivre vers un master. Tout comme Hugo, il rêve cependant de faire un retour sur la scène mondiale en 2026, lors des WorldSkills à Shanghai. 

Tous deux recommandent vivement l’expérience Euroskills à d’autres étudiant·e·s. Emilien conclut même : « Il ne faut pas se dire qu’on n’est pas capable. Il faut oser. Ce qu’on apprend ici, on ne l’apprend pas ailleurs. » 

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Instit’, tu n’es pas seul·e !  

Débuter le métier d’enseignant·e soulève certaines interrogations : comment postuler ? Quels sont les différents types de contrat ? Comment se former en continu ? Les étudiant·e·s ont non seulement obtenu des réponses à leurs questions, mais aussi des conseils précieux pour leur future carrière dans l’enseignement. 

Ateliers au programme : 

• CV et lettre de motivation ; 
• L’importance de la formation continue dans la carrière ; 
• « Un syndicat, ça sert à quoi ? » ; 
• Les missions des conseiller·ère·s au soutien et à l’accompagnement ; 
• Où et comment postuler ? ; 
• « Je peux enseigner la religion, mais … qu’est-ce que le visa du chef de culte ? ». 

Le 16 mai, une après-midi a été consacrée à des sujets sensibles auxquels sont confronté·e·s tou·te·s les enseignant·e·s : 

• Santé et santé mentale ;  
• Harcèlement et décrochage scolaire ;  
• Recrutement. 

À la rencontre d’instit’ qui inspirent !  

Grâce à des échanges avec de nombreu·se·s intervenant·e·s, les étudiant·e·s ont découvert la diversité des parcours professionnels possibles après l’obtention de leur diplôme.  

« Je n’imaginais pas qu’il y avait autant de possibilités » témoigne Madeleine, une étudiante.

Alors, pourquoi pas enseigner… 

• Dans une classe en immersion ; 
• En classe inclusive ; 
• À des personnes atteintes de troubles du spectre autistique ; 
• En utilisant la pédagogie du chef d’œuvre ; 
• A l’étranger ;
• En classe TEACHH. 

La méthode TEACHH est un programme d’éducation conçu pour les personnes autistes qui vise à développer leur autonomie par l’utilisation de repères visuels et temporels.  

« En tant qu’étudiante, j’aurais aimé avoir une journée comme ça, cela m’aurait permis de voir tous les horizons qui s’ouvraient à moi » se confie Géraldine, une intervenante de la journée.

Mais aussi, pourquoi pas se former… 

• Grâce au Master en sciences de l’éducation ;  
• À l’orthopédagogie, une approche éducative qui aide les enfants avec des difficultés d’apprentissage.  

Au fil de ces nombreuses rencontres, les étudiants ont aussi échangé avec des personnes qui ont opté pour des voies de carrière différentes, en plus de celle de l’enseignement : 

• Une assistante universitaire et doctorante ;  
• Une formatrice en coaching scolaire ; 
• Monsieur Xavier sur les réseaux sociaux ;
• Un auteur de manuel scolaire. 

Ces trois jours riches en informations ont été bénéfiques pour ces futur·e·s diplômé·e·s. Ils ont réalisé que les possibilités de carrière sont vastes, et surtout, qu’ils·elles ne sont pas seul·e·s : de nombreux individus et organismes sont disponibles pour les soutenir dans leur parcours professionnel. 

Pour en savoir plus sur le Master en enseignement Section 2, c’est par ici ! 

Cet article Teachers’ Days : mieux comprendre le métier… et les chemins possibles après le diplôme est apparu en premier sur HELHa - Haute École Louvain en Hainaut.

Fabriquée en Belgique, cette serre permettra de faire grandir les ambitions du projet « C’HELHa pousse », déjà bien ancré dans la vie du campus. 

Si son aménagement intérieur reste à finaliser, l’objectif est clair : y cultiver des semis destinés à enrichir le reste du potager, ainsi que des légumes comme les tomates ou les salades. Pour cette année scolaire, aucune plantation sous serre n’est encore prévue mais les idées ne manquent pas pour les saisons à venir. 

Autour de cette serre, c’est tout un espace qui prend vie : 5 carrés potagers de 16 m² chacun, bientôt rejoints par deux supplémentaires, une réserve d’eau, un cabanon, une table de pique-nique couverte et une clôture forment un cadre propice au travail collaboratif, mais aussi à la détente. Ce potager est avant tout un lieu de partage, où l’on vient jardiner ensemble, apprendre et se reconnecter à la nature. 

Le potager accueille une grande diversité de cultures : pommes de terre, ail, oignons, échalotes, herbes aromatiques et quelques plants de tomates. D’autres variétés viendront bientôt enrichir les parcelles, comme le maïs, les haricots borlotti, les poireaux ou encore les concombres. Chaque culture est choisie en tenant compte de la saisonnalité et des contraintes logistiques, notamment celles liées aux périodes de vacances estivales, durant lesquelles la récolte s’avère plus difficile à organiser. 

Le potager est également un levier pour sensibiliser les étudiant·e·s et les membres du personnel. Des actions concrètes y sont régulièrement organisées. L’automne dernier, 320 kilos de potirons ont été récoltés et distribués, ce qui a permis la préparation de veloutés à destination des étudiant·e·s. L’alimentation devient alors un vecteur d’éducation, de solidarité et d’écologie. 

Ce projet de potager permet à chacun·e de s’investir autrement dans la vie du campus. 

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Un projet concret dans le cadre d’un atelier de formation pratique 

Encadré·e·s par leurs enseignant·e·s, les étudiant·e·s ont suivi toutes les étapes de l’organisation d’une sortie scolaire : choix des activités, réservation des transports, gestion du budget, encadrement des élèves, etc. Le tout dans le cadre d’un Atelier de Formation Pratique (AFP) qui les prépare aux réalités du terrain. 

L’objectif ? Développer les compétences indispensables à la fonction enseignante, notamment la capacité à organiser des projets pédagogiques et culturels avec une classe. 

Une journée d’immersion culturelle et linguistique 

Le projet s’est concrétisé par une excursion à Leuven, en collaboration avec des élèves de l’ISM Fontaine-l’Évêque et de l’IND Philippeville. Une journée articulée autour de la découverte du patrimoine flamand et de l’immersion linguistique en néerlandais. 

• Visite du Béguinage 
• Découverte de la Grand Place 
• Passage par la Bibliothèque de l’Université de Leuven 
• Rallye linguistique : photos, interviews de passants, réponses à des questions, etc. Les élèves ont complété un dossier en néerlandais à partir de leurs observations. 

Pourquoi cet AFP est précieux pour les futurs enseignant·e·s ? 

Ce type d’AFP permet aux étudiant·e·s de :  

1. développer des compétences organisationnelles et logistiques ;
2. concevoir des dispositifs d’immersion linguistiques ;
3. favoriser l’ouverture culturelle à travers des visites de lieux flamands ;
4. renforcer l’esprit d’équipe et la collaboration entre élèves, enseignant·e·s et futur·e·s enseignant·e·s.

Pour en savoir plus sur le Master en enseignement – Section 3 (langues germaniques), pour enseigner de la 3ème primaire à la 3ème secondaire

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Intitulée « Place, Knowledge and Skills: Applied universities driving regional competitiveness », cette conférence a questionné la contribution des établissements d’enseignement supérieur pour soutenir la compétitivité économique de l’Europe dans une approche plus durable et inclusive. L’événement se tenait au sein des locaux de l’Université Polytechnique de Portalegre.

De l’innovation à tous les niveaux et des contacts avec le monde professionnel

La Conférence a été inaugurée par les discours de Hannes Raffeseder, Président de l’EURASHE, Luís Loures, Président de l’Université Polytechnique de Portalegre, Fermelinda Carvalho, Maire de Portalegre et Fernando Alexandre, Ministre portugais de l’Education, des Sciences et de l’Innovation.

Au cours de la première journée, les participant·e·s ont assistés à une séance d’information centrée sur l’innovation au service de nos missions dans nos régions et une autre sur les écosystèmes locaux de compétences.

Des tables rondes ont également été organisées autour de sujets variés tels que :

• le rôle des doctorant·e·s en Europe considérant le fait qu’ils·elles peuvent être des ponts entre l’excellence académique et le monde professionnel ;
• les moyens d’avoir un impact au niveau régional et international ;
• la réinvention des espaces d’apprentissage pour des expériences immersives ;
• l’assurance qualité.

Le lendemain, la journée était dédiée à l’identification des forces des régions européennes. Quatre tables de conversation ont été mises en place autour de :

• l’évaluation de l’engagement régional ;
• la préparation des étudiant·e·s au monde du travail dans toute l’Europe ;
• la recherche appliquée dans l’enseignement et la formation ;
• l’inclusion dans l’enseignement supérieur professionnalisant.

EURASHE – quèsaco ?

EURASHE signifie “European Association for the Applied Sciences in Higher Education”.

Fondée en 1990 en Grèce, EURASHE est une association internationale qui promeut l’enseignement supérieur professionnalisant en Europe.

Elle met en relation plus de 80 membres répartis en Europe et représente plus de 500 établissements supérieurs professionnalisants.

L’association a ainsi créé deux réseaux : L’European Higher Education Area (EHEA) pour l’enseignement et le European Research Area (ERA) pour la recherche dont l’objectif est avant tout la coopération internationale.

Il est à noter que Philippe DECLERCQ, le Directeur-Président de la HELHa, représente l’ARES (Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur) à l’Assemblée Générale de EURASHE.

Des opportunités pour notre Haute Ecole

Lors de ce déplacement, nos deux représentants ont eu l’opportunité de réseauter avec des représentant·e·s d’autres institutions à travers l’Europe et d’échanger sur le rôle des établissements supérieurs dans le développement régional durable.

L’objectif est également de pouvoir faire rayonner la HELHa à l’international et de déployer des partenariats tant pour nos étudiant·e·s que pour nos membres du personnel, que ce soit en formation initiale, en formation continue ou en recherche.

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